Viaggio nel canto sacro della tradizione orale italiana

Viaggio nel canto sacro della tradizione orale italiana

Viaggio nel canto sacro

Le Rencontre de chants traditionnels italiens avec le groupe PASSIO 20192019

Voyage dans le chant sacrée de tradition orale italienne du lundi 22 au samedi 27 Avril au soir à Cavo – Ile d’Elbe en Toscane

Intervenantes:

Anna ANDREOTTI, Anne de BROCA, Joëlle FAYE, Joséphine LAZZARINO, Margherita TREFOLONI.

Vous serez logés à la Casa per ferie San Giuseppe à Cavo ancien couvent du XVIII siècle à 200 mètres de la plage et à 3 minutes du port de plaisance de Cavo dans l’extrême pointe septentrionale de l’Ile d’Elbe.

www.casasangiuseppecavo.com

Joséphine – Margherita – Anne – Joëlle – Anna

Viaggio nel canto sacro della tradizione orale italiana

Le chant avec qui?

Vous découvrirez cinq univers différents dans la transmission du chant traditionnel italien et partagerez le répertoire du groupe PASSIO qui récolte, arrange et repropose des polyphonies sacrées de tradition orale italienne depuis plus de 20 ans. Une particuliere attention sera donné aux chants de l’Ile d’Elba, mais pas seulement. Passio a donné des concerts dans la France entière, en Italie, en Israël.

Discographie et Filmographie:

Passio, disque Al Sur, Next Music/Musisoft, CDAL 268 MD85 2. Passio, un film documentaire d’Alain Guillon avec la participation de Giovanna Marini. «L’Exercice de l’Etat » de Pierre Schoeller, César du meilleur son 2012. « Della Passione di Cristo » concert du groupe diffusé sur Mezzo. Il Canto dell’Anima, production Maggese / Folknote 2018

On peut lire dans le dossier du groupe:

« Chacun de ces chants est le chant d’un peuple, d’un village, d’une terre. Ils résonnent sur les pierres, dans les airs ou dans les églises. Ils sont chantés aujourd’hui par des hommes et des femmes à la voix façonnée par la rudesse ou la douceur d’un paysage, par la musique d’une langue, par les travaux des champs, de la mer ou de l’usine. Ils sont inscrits dans les replis du terrain et dans les sillons des visages. Ils nous ont touchés et portent avec eux les vibrations des voix, les éclats des regards jeunes ou vieux, les moments de rituels, de foi populaire et de musique. Au cœur des fraîches nuits de printemps, nous avons suivi les processions dans des villages accrochés aux montagnes, et nos oreilles frémissent encore de passion pour cette musique. De retour à la ville, nous étions à chaque fois plus riches de nouvelles émotions. N’obéissant à aucun “dogme ethnomusicologique” nous avons écouté nos cœurs de chanteuses: nos voix sont bien différentes de celles des chanteurs que nous avons entendus là-bas (souvent ce sont des confréries d’hommes!) mais nous avons décidé de faire vibrer dans nos corps de citadines ces magnifiques sonorités. Il nous importe aujourd’hui de partager ces émotions avec un public, soit en direct, en concert, soit par notre disque. Année après année, les rencontres avec les chanteurs et les chants rituels de Pâques ne sont pas le fruit de promenades ou de hasards. Bien avant que nous ayons pu écouter ces bijoux musicaux sur place, une génération de chercheurs dont Pietro Archangeli, Diego Carpitella, Franco Coggiola, PietroS assu, avaient parcouru l’Italie. C’est grâce à leurs enregistrements que nous avons eu un premier contact avec ces chants. Sans leur travailet tout l’amour avec lequel il nous a été transmis par Giovanna Marini, nous n’aurions pas pu chanter ce répertoire.»

Les chanteuses

Anna Andreotti,

née à Florence, commence le théâtre après des études littéraires, et musicales (piano et saxophone). En 1987, elle rejoint la compagnie française Le Théâtre de la Sphère. À partir de 1991, elle écrit, met en scène et interprète ses propres pièces tout en poursuivant son travail de comédienne avec d’autres compagnies en Italie et en France. En 1994, elle rencontre Giovanna Marini, avec qui elle se forme pendant 5 ans au Chant traditionnel italien. Cofondatrice du groupe PASSIO. Elle a chanté avec le chœur Izegani dirigé par N. Pourhosseini et B. Cirla; en première partie de Anna Prucnal; dans : « Amòur me Amòur, » poèmes et chansons de P. P. Pasolini ; le trio Charivari ; « Laissez moi chanter ! » ; « Persanes ». Elle a été assistante à la musique sur « Le concile d’Amour » de Panizza, m.e.s S. Sandor. Elle a dirigé pendant 9 ans le groupe Chants de Rage et de Révolte. Elle est intervenante pédagogique en chant traditionnel italien à la Philarmonie de Paris depuis 10 ans et à l’école de langue et culture italienne Polimnia. Elle a joué dans: « Cut » d’E.Marie, « Combat » de G. Granouillet m.e.s de J. Descordes, « Un fil à la Patte » de G. Feydeau et dernièrement dans « Suis—je encore vivante » m.e.s J—C. Fall. Depuis janvier 2010, elle poursuit un travail de collecte et retransmission scénique de chants et témoignages d’immigrés italiens en France « Sur les traces de l’immigration italienne »; un film a été réalisé par R. Baratta Sur les traces de l’immigration italienne – histoires françaises. En Mars 2013 elle crée avec M. Trefoloni « Et toute l’Italie se remet à chanter ». En 2016 elle crée « E più non canto e più non ballo » spectacle pour 7 voix sur les chants de la 1ère guerre mondiale. Actuellement elle est assistante pour les musiques de Giovanna Marini composées pour Les Troyennes avec la Cie de danse de Bruxelles As Palavras.

Anne de Broca

est comédienne depuis 40 ans sous la direction, entre autres, de Daniel Mesguich, Philippe Adrien, Mehmet Ullusoy, Stuart Seïde, Adel Hakim, Brigitte Jacques, Jean-Michel Rabeux, le théâtre de l’Unité, Jérôme Savary, le Footsbarn-Théâtre, mais aussi chanteuse et metteur en scène. Elle est cofondatrice du groupe PASSIO et du groupe TEMPO LIBRE (chants du monde à cappella, disque Nord-Sud). Elle dirige régulièrement des stages de chants traditionnels polyphoniques pour professionnels et amateurs au sein du Footsbarn-Théâtre et du festival musical de Planézes (66). Aujourd’hui elle s’intéresse particulièrement à l’improvisation vocale avec Jean-Yves Pénafiel, ainsi qu’au chant-tango avec des musiciens argentins. Sa rencontre avec des chanteurs l’a conduit à la mise en scène de théâtre musical avec le groupe “Sanacore”, le duo”All’Alba”, Dominique Fonfrède et Brigitte Cirla. En 1989 elle crée un rituel d’amour et de théâtre qui se joue depuis 30 ans à la date du 16 février, pour une représentation unique, chaque année dans une nouvelle mise en scène et mise en abîme.

Joëlle Faye

est chanteuse, pianiste et pédagogue. Son univers musical se situe à la frontière des mondes de l’oralité et de l’écrit, de la musique populaire et de la musique savante. Cofondatrice du groupe PASSIO, elle chante aussi dans la compagnie NONNA SIMA de Silvia Malagugini «La Pierre qui chante», «Le chant des paladins», «Mystères», dans «Persannes» de Nasrin Pourhosseini, dans «Daïssa» de Jean Marc Zelwer et Francesca Lattuada. Elle collabore avec Jean Reboul, auteur psychanaliste et gynécologue dans « les quatre saisons d’une femme» et «Kaoru». Serge Barbuscia, Jean–Luc Payès, Louise Doutreligne, Arnaud Meunier l’ont mise en scène. Par ailleurs, elle enseigne la culture musicale et la musique d’ensemble au Conservatoire du Blanc Mesnil. Discographie : «PASSIO» Al Sur/ « Mystères » Buda Musique /« Kaoru » livre CD Lucie editions.

Joséphine Lazzarino

est née à Paris, où elle vit et travaille, de père sicilien et de mère andalouse. L’enseignement de Giovanna Marini, avec laquelle elle a travaillé pendant plus que dix ans, lui a permis de retrouver ses racines, et de concevoir ses recherches musicales dans le cadre des traditions de la Méditerranée populaire, qu’elle même définit comme « Méditerranée de la mémoire ». Elle interprète les chants qui font partie de sa recherche avec les instruments qu’elle considère les plus aptes à donner une interprétation forte liée à l’imagination, grâce aux sonorités, aux bruits et aux voix traditionnelles. Les rythmes avec le tambourin, la tammorra, l’accordeon diatonique fondateurs du rythme INCORPORÉ dans la Pizzica, la Tammuriata de Puglia de la Campania de Sicilia. Cofondatrice du groupe PASSIO. Elle a fait partie du chœur de l’Orchestre de Paris de 1986 au 1992, baignée dans le monde lyrique, en concert dans des tournées mondiales dirigées par de grands chefs d’Orchestre. Elle a étudié plus de 10 ans avec François Combeau les principes de la méthode Feldenkrais Elle est musicothérapeute à l’hôpital des enfants malades Necker de Paris. Pédagogue de la voix elle accompagne dans l’exploration par l’ART du MOUVEMENT

Margherita Trefoloni

est chanteuse et comédienne. Née à Sienne en 1980, elle intègre à 15 ans la compagnie franco—italienne Corps rompu dirigée par M.C. Massari. Elle s’initie par la suite au chant traditionnel italien avec des musiciens et chanteurs des Pouilles. En 2005 elle s’installe à Paris. Elle continue son parcours de formation avec Giovanna Marini et certaines de ses élèves. Elle a fait partie du groupe polyphonique Atelier Nonna Sima, dirigé par Silvia Malagugini et travaille également sous la direction de compositeurs contemporains comme Franck Krawczyk et Karl Naëgelen ainsi que de l’auteur / metteur en scène Julien Gaillard avec lequel elle co—fonde en 2008 la compagnie franco—italienne l’oblio — di me. En 2013 elle crée avec Anna Andreotti «Et toute l’Italie se remet à chanter», voyage poétique et musicale dans l’Italie du XX siècle, m.e.s Anne Quesemand. Depuis 2011 elle dirige l’ensemble vocal A tout bout de chant et enseigne le chant traditionnel italien pour l’école de langue et culture italienne Polimnia. En juin 2013 elle intègre le groupe Passio. Elle a travaillé également dans le spectacle «Dissocier les fonds – un presque oratorio» avec la Cie Station Miao dont garde trace le livre sonore Dissocier les fonds paru en novembre 2016 (Beau livre). En 2018 elle a dirigé le chant dans la pièce «Littoral» de Wajdi Mouawad m.e.s. Simon Delétang au Théâtre du Peuple à Bussang.

Comment ça se passe ?

– Présentation, à travers l’écoute des bandes originales, de divers exemples de façon de chanter en Italie (du nord au sud, en passant par les îles)

– Échauffement à travers des exercices ludiques tout en apprenant différents modes.

– Écoute des timbres.

– Placement de la voix dans le chant traditionnel italien. Travail d’analyse pratique des propres gestes vocaux quotidiens à la recherche de tout ce qui peut nous rapprocher de la voix de poitrine, voix timbrée, voix nasillarde, typiques de ce type de musique.

– Apprentissage de modes de la tradition orale italienne (monodique et /ou polyphonique). Chaque chant sera replacé dans son contexte (lieu du collectage, date de l’enregistrement, traduction…)

– Deux heures dans l’après-midi seront consacrées à la transmission en groupe par les chanteuses d’une des pièces de leur répertoire.

– Les rencontres avec les 5 intervenantes se feront à Cavo dans la chapelle attenante à la maison où les stagiaires seront logés .

– On essayera d’organiser un ou deux petits concerts les 26 et 27 au soir. Le planning détaillé du séjour vous sera communiqué plus tard.

Informations pratiques

Coût: 400 euros, 300 chômeur/étudiants + 12 euros d’adhésion à

l’Association Maggese valable pour l’année 2019.

Le prix inclut l’hébergement, les petit-déjeuners, et les repas du soir pris en commun.

Aucun hébergement en chambre seule ou double ne sera possible. Chaque chambre est équipée d’une salle de bain et de toilettes.

Les repas seront préparés par l’équipe pédagogique (nous ne sommes pas chefs cuisinières!!!!) mais nous ferons de notre mieux pour vous assurer des repas ‘comme à la maison’, à base de produits frais du marché et typiquement italiens et dans la mesure du possible de la région !

Le voyage reste à la charge de chacun.

Nous pouvons avoir un prix sur le bateau pour se rendre à L’Ile d’Elbe, consultez nous avant d’acheter les billets.

Pour se rendre à Cavo:

– Vous pouvez arriver en train ou en avion à Pise et prendre le train pour Piombino Marittima, puis un bateau pour Cavo :

https://www.trainline.fr/trains/pisa-centrale/piombino-marittima

– Vous pouvez arriver aussi à Portoferraio et prendre le bus 117

horaires : 5 h20 11h20 14h00 18 h30

http://www.iledelbe.net/allegati/orari-autobus/extraurbano/invernale-festivo.pdf

– En nous contactant, vous pouvez avoir un prix réduit sur le bateau.

– Si vous désirez arriver le soir précédent c’est possible mais il nous faut le savoir et il y aura un supplément (environs 20 euros) pour la nuitée.

– Nous seront logés dans un ancien couvent du XVIII siècle à 200 mètres de la plage et à 3 minutes du port de plaisance de Cavo.

Si cette aventure vous intéresse, réservez vite car les places sont

limitées ! ! !

Par @mail : lamaggese@neuf.fr

Par téléphone : 06 01 80 43 27

+ En remplissant la fiche jointe et en la renvoyant au + vite*.

Pour toute question sur le déroulement du stage, contacter :

Anna Andreotti

andreotti.anna@neuf.fr / 0601804327

N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus !!!!

Date limite des inscriptions le 20 février au soir!!!!

Vous pouvez aussi me joindre au 06 74 00 31 89 josephine lazzarino

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Saldo e stralcio tasse

Saldo e stralcio tasse – Domanda di adesione alla Legge di bilancio 2019 (numero 145 del 30 dicembre 2018, articolo 1 commi 184 e seguenti).

Saldo e stralcio tasse

Saldo e stralcio tasse - Domanda di adesione alla Legge di bilancio 2019 (numero 145 del 30 dicembre 2018, articolo 1 commi 184 e seguenti).

L’Agenzia delle entrate ha pubblicato il modello per presentare la domanda di adesione al provvedimento presente nella Legge n. 145 del 30/12/2018 (art. 1 commi 184 e seguenti) che consente di pagare i debiti fiscali e contributivi, con una percentuale che varia dal 16% al 35% dell’importo dovuto già “scontato” delle sanzioni e degli interessi di mora, alle persone che si trovino in situazione di grave e comprovata difficoltà economica,

La situazione di grave e comprovata difficoltà economica vale per le persone fisiche con ISEE non superiore a 20.000€ mila euro, oppure per coloro che alla data di presentazione della dichiarazione di adesione, risulti già aperta la procedura di liquidazione prevista dalla cosiddetta legge 27/1/2012).

La richesta  aldo e stralcio va presentata entro il 30/04/2019 ed è disponibile, oltre sul sito www.agenziaentrateriscossione.gov.it,

Il modello SA-ST per aderire al “saldo e stralcio” è riservato alle persone fisiche che abbiano requisiti reddituali e patrimoniali non superiore a 20.000€ per nucleo familiare, e che siano debitori per importi maturati tra l’1/12000 e il 31/12/2017 derivanti SOLO da omesso versamento di imposte risultanti da dichiarazioni relative al Decreto del Presidente della Repubblica n. 600 del 29/09/1973 e al  Decreto del Presidente della Repubblica n. 633 del 26/10/1972, oppure ad omesso versamento di contributi dovuti alle casse previdenziali professionali o alle gestioni previdenziali dei lavoratori autonomi dell’Inps.

Sarà possibile pagare i debiti relativi al “saldo e stralcio” n una percentuale che varia in base alla situazione economica del contribuente.

Ossia il16% nel caso di ISEE inferiore ad 8.500€, il 20% con ISEE da 8.500€ fino a 12.500€, il 35% con ISEE compreso tra 12.500€ e 20.000€.

Nella domanda deve essere specificato se si intende versare la somma dovuta in un’unica soluzione entro il 30/11/2019 oppure se si preferisce pagare in 5 rate (35% entro il 30/11/2019, il 20% entro il 31/03/2020, il 15% entro il 31/07/2020, il 15% entro il 31/03/2021 e il saldo entro il 31/07/2021) con un interesse annuo del 2% dal dicembre 2019.

Entro il 31/10/2019 l’agenzia delle entrate comunicherà l’importo delle somme e le scadenze delle singole rate per il “saldo e stralcio”.

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Il Dispari 20190107 – Redazione culturale

Il Dispari 20190107 – Redazione culturale

Il Dispari 20190107

Il Dispari 20190107 – Redazione culturale Il Dispari 20190107 ADRIANA IFTIMIE CEROLI: presentazione ed intervista esclusiva per DILA a cura di Silvana Lazzarino. Coraggio, determinazione, profonda sensibilità e un’innata curiosità

ADRIANA IFTIMIE CEROLI: presentazione ed intervista esclusiva per DILA a cura di Silvana Lazzarino.

Coraggio, determinazione, profonda sensibilità e un’innata curiosità sono state le motivazioni principali che hanno accompagnato Adriana Iftimie, scrittrice e poetessa bella, colta, sensibile, amante della letteratura e della poesia.

Nata in Romania, Adriana nel suo percorso di bambina, giovane donna e madre ha saputo cogliere gli aspetti positivi della vita nonostante la sua infanzia e adolescenza siano state dolorose e difficili per la critica situazione familiare e l’atmosfera del regime.
Sotto il regime di Ceausescu ha dovuto trovare in se stessa quella forza ed energia per fare di ogni suo giorno un’opportunità per essere felice.

Curiosa da sempre, fin da piccolissima a farle compagnia non erano giocattoli e bambole, bensì i libri della libreria del padre tra i quali Proust, Schopenhauer e Zola.

Così già a 4- 5 anni riusciva a leggere testi di letteratura e filosofia con cui trascorreva molti pomeriggi.

Lo studio è stato importante per la sua formazione culturale e personale: attenta e interessata ai vari argomenti che apprendeva a scuola, Adriana si mostrava molto portata per le diverse materie fin dalle elementari quando ha scoperto una particolare predisposizione per la poesia con cui dare vita alle proprie emozioni e stati d’animo.
A sei anni ha scritto la sua prima poesia intitolata “Il cuore è una foglia”.

Caduto il regime, espatria, e dopo diversi spostamenti, incontri ed esperienze come fotomodella e nel cinema in diverse fiction, giunge a Roma dove vive da 24 anni con i figli Alessia e Kevin ed il suo compagno il Maestro Mario Ceroli scultore noto al pubblico per il Cavallo alato posto di fronte alla sede RAI di Saxarubra.

Ceroli è anche autore di 4 chiese: una a Porto Rotondo, una a Tor Bella Monaca, una a Napoli ed una all’Istituto Superiore di Polizia e di tante altre opere collocate in Italia e nel mondo.

Adriana è autrice di una sceneggiatura e ha pubblicato due libri e vinto un primo premio internazionale di poesia con “Inima Pierduta” scritto completamente in italiano.

Un libro che ha ricevuto molte testimonianze di stima ed apprezzamento da parte di personaggi illustri tra i quali vanno menzionati: Paolo Villaggio, Luca Cordero di Montezemolo, Bimba De Maria.

 

Il Dispari 20190107 – Redazione culturale Il Dispari 20190107 ADRIANA IFTIMIE CEROLI: presentazione ed intervista esclusiva per DILA a cura di Silvana Lazzarino. Coraggio, determinazione, profonda sensibilità e un’innata curiosità


D: – Fin da piccola alle elementari hai dimostrato una grande predisposizione per le materie letterarie forse anche dovuta al fatto che i tuoi pomeriggi trascorsi nella libreria di tuo padre prima e del tuo patrigno poi, ti hanno inevitabilmente avvicinata ad un mondo legato al pensiero, alla dissertazione sull’uomo e l’esistenza. Tra gli autori a cui ti sei accostata fin da piccola quali quelli che ti hanno colpito maggiormente?
R: – Trascorrevo i pomeriggi nella mia camera in casa di mio patrigno, leggendo libri che nemmeno comprendevo, ma mi incuriosivano. Fui colpita da Stendhall con “Il Monastero di Parma”, dalle “Metamorfosi” di Kafka diventato un scarafaggio, “il Tempo Ritrovato” di Proust. Amavo i consigli di Schopenhauer e Goethe. Il Decamerone mi scandalizzava.

D: – Riguardo la poesia cui ti sei accostata fin dall’età di sei anni quando hai scritto il tuo primo componimento “Il cuore è una foglia”, quali gli autori che amavi leggere più di frequente? Quali tematiche affronti nei tuoi versi che diventano occasione per parlare di te e delle tue emozioni?
R: – Naturalmente leggevo autori romeni. In adolescenza ho scoperto Pirandello, Alighieri, Montale; miei versi raccontano parole mai dette, ricordi sottili dell’anima, amori proibiti, sogni, presente, passato, futuro, stagioni. Potrei dire che scrivo di getto ciò che sento al momento.

D: – Lasciare la tua terra la Romania ha rappresentato un distacco difficile, ma rappresentava l’inizio di una nuova vita, di una rinascita seppur attraverso spostamenti da un luogo ad un altro. Cosa ti ricordi a livello di sensazioni di quando hai messo piede in Europa?
R: – Lasciare la mia terra, nonostante i successi avuti come modella e fotomodella mi ha restituito una nuova occasione. L’Europa l’ho vissuta da privilegiata, continuando a fare la modella a Francoforte, Düsseldorf e Zurigo.

D: – Come sei arrivata poi a Roma dove vivi da circa 24 anni?
R: – A Roma arrivai da clandestina, attraversando di notte due dogane, accompagnata da una guida a pagamento con altre due persone. Fu un’avventura che non auguro a nessuno.

D: – Il tuo primo libro di poesie è la raccolta INIMA PIERDUTA. Me ne parli? Che emozione hai provato quando è stato presentato?
R: – “Inima Pierduta”, (anima perduta), significa l’inizio di una nuova me, in una lingua che parlavo bene. Fui incoraggiata dal mio compagno a riprendere la scrittura. Mi fece scrivere la prefazione di un suo catalogo “Il Sesto Senso”. Un lavoro complesso che rappresentava me, esposto anche al museo PS 1 di New York. Presentando il libro fui colpita dall’accoglienza ricevuta dal pubblico e dai personaggi famosi arrivati per me nelle librerie. Ho tanti articoli nei giornali dell’anno 2002.

D: – Questo libro ha vinto nel 2002 un premio che ti ha dato molta soddisfazione. Vuoi raccontarmi quali sono state le tue sensazioni?
R: – Il primo premio internazionale è stato di grande impatto nella mia vita, la mia autostima era andata alle stelle. Però ricevere un premio non ti cambia la vita, ti stimola a proseguire. Non sono mai stata il tipo di persona che ambisce al trionfo e al successo, perché la partecipazione ai concorsi è innanzitutto un modo per dare voce alle mie emozioni e confrontarmi. Il libro fu scelto e premiato per caso e fu una sorpresa davvero gradita per me.

D: – Oltre alla poesia ti sei accostata al genere thriller. Hai in programma un romanzo sul genere?
R: – Sì, il romanzo che sto preparando per adesso l’ho messo in stand by. Ho in programma altri due libri di poesia, soltanto da inviare il materiale alle case editrici, e la biografia segreta del mio compagno impostata su domande e risposte, tipo il libro “Autoritratto a 70 anni” di Sartre.

D: – Come donna che ha lavorato nelle fiction e come fotomodella quali personaggi di spicco del mondo dello spettacolo hai incontrato e conosciuto?
R: – Ne ho conosciuti tanti! Alcuni sono morti. Posso nominare Paolo Villaggio, Pasquale Squittieri, Claudia Cardinale, Franco Nero, Luca Cordero di Montezemolo, Vittorio Sgarbi, Califano, Umberto Tozzi, Corinne Clery, Serena Grandi, Lorenzo Flaherty… A parte gli amici scomparsi, con gli altri sono tuttora in contatto ed ottimi rapporti.

D: – Importante è stato l’incontro con la DILA Associazione Culturale da Ischia l’Arte e Bruno Mancini. Come hai conosciuto Bruno Mancini, affermato scrittore?
R: – L’incontro con il grande amico e scrittore Bruno Mancini fu uno dei più storici legami. È nato in facebook, per caso. I miei figli per prendermi in giro, circa 14 anni fa, più o meno, mi hanno creato un profilo nella rete social e poi creai un gruppo, e mi sono iscritta nel gruppo di Bruno Mancini. Siamo molto amici, è un genio e gli sono grata per le iniziative in cui mi rende protagonista. È un mio fan, come anch’io lo sono nei suoi confronti. Adesso lo considero, oltre amico e artista che stimo tantissimo, un mio promoter. Egli ha scommesso su di me. Credo che la sua affinità selettiva è andata oltre le mie aspettative, perché io non mi aspetto nulla dalla vita, cosi non sarò mai delusa.

D: – Con una delle antologie DILA hai collaborato con diversi componimenti poetici. Tra le poesie pubblicate in questo libro vuoi citare alcuni titoli?
R: – Nell’antologia ho pubblicato due poesie, fu il primo rapporto di lavoro con Bruno, che, sempre molto attento e discreto, ha fatto delle ricerche in internet scoprendo molte cose su di me. Ti assicuro che non mi ricordo cosa gli mandai. Scrivo moltissimo, ecco, una delle poesie parlava del tempo al punto interrogativo.

D: – Cosa porti sempre con te della tua Romania?
R: – Porto ricordi tristi, avventure, sventure, il primo amore, si chiamava Ionel. Fu un amore fulminante, vissuto alla luce del giorno. Eravamo entrambi giovani e pieni di obiettivi ed entusiasmo, soltanto che io feci un passo avanti, o forse indietro andando via da Bucarest e perdendo i contatti con lui.
Fu anche il mio primo fotografo. Mi ricordo le stagioni, la neve, le poesie, le candele nei cimiteri, mio padre che è scomparso troppo presto. Aveva solo 56 anni. Quanta sofferenza…

D: – Cosa pensi dell’esistenza in generale facendo poi riferimento a questa cultura occidentale dove tutti sembrano correre dietro alla visibilità, al potere e al successo?
R: – Penso che nella vita non bisogna mai aspettarsi qualcosa, cosi non si verrà delusi. Il successo, specialmente nel mondo dell’arte di ogni tipo è molto faticoso e avviene quasi sempre post mortem. Io voglio lasciare un segno, una testimonianza che ci sono stata su questa terra. Lasciarla ai miei figli e nipoti, anche ai miei avi che mi guardano ed io li sento.

D: – Secondo te si vive più volte senza coscientemente rendersene conto in modo diretto?
R: – Certo che sì. Io credo nella reincarnazione. L’anima è un energia, l’energia non muore mai. Fluttua. Diventa qualcos’altro. Un altro essere. Tutto dipende da ciò che hai fatto nella vita terrena.

D: – Una frase di un filoso o scrittore che ti accompagna.
R: – Aristotele diceva che tutti gli uomini d’ingegno sono melanconici.

D: – La vita ti ha tolto e poi ti ha dato, ma tutto quello che hai ottenuto te lo sei conquistata dopo aver lasciato il tuo paese in seguito al crollo de regime. Tutto quello che ti sei costruita dopo è stato grazie a te al tuo carattere deciso, curioso e pronto a rimettersi in gioco: sei stata in gamba a non farti travolgere dagli eventi, pronta a ricominciare, portando dentro te anche un prezioso bagaglio culturale che ti ha permesso di guardare la realtà e il mondo con occhi diversi. Che mi puoi dire a riguardo?
R: – Ho superato tantissimi traumi, lunghi periodi di assenza o meglio dire di mancanza di curiosità. Mi sono occupata di altre cose. Leggevo poco e non scrivevo nulla. Mi ero dimenticata di me. Ho deciso di ricominciare quest’anno, all’improvviso, guardando il mio primo libro. L’ho ripreso in mano, poi ho iniziato a scrivere, 10 poesie in mezz’ora, 300 poesie in 4 mesi.

D: – Quale la prossima pubblicazione in uscita?
R: – La prossima pubblicazione sarà “Il Cantico del Cigno”, sempre poesie. Dopo di che un’antologia propria in 5 lingue.

Silvana Lazzarino

 

Il Dispari 20181231

Il Dispari 20181231 – Redazione culturale

Editoriale

Nell’ultimo numero del 2018 di questa pagina, desidero esprimere tanti auguri a tutti voi lettori, tanti ringraziamenti ai numerosissimi collaboratori che hanno permesso la dinamica e colta proposizione di contenuti artistici-sociali-culturali pubblicati qui settimanalmente, e tantissima gratitudine a Gaetano Di Meglio che ci ha lasciata SEMPRE la piena e totale autonomia gestionale della redazione della pagina.

Associazioni di qualsiasi natura, eventi di ogni forma d’arte proposti in ogni regione italiana, Artisti di tutti i continenti hanno trovato spazio e visibilità in questa testata giornalistica che, sempre più, si va affermando ben oltre i confini dell’isola come la vera autentica voce del Made in Ischia.

Ciò non basta a farci adagiare in abitudini ormai consolidate!
Infatti, per il 2019 sono in programma alcune novità tese a diffondere attraverso “Il Dispari” tutto ciò che ci verrà proposto di interessante in alcune regioni d’Italia… e non solo d’Italia.

Nel Lazio, in Emilia Romagna, nel Trentino, in Sicilia e in Algeria, alcuni amici/amiche dei nostri progetti culturali stanno già riscaldando le dita per essere pronti a sfornare articoli, interviste e cronache che costituiranno le colonne portanti di nuove redazioni regionali.

Tutti noi dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Artre – DILA”, con l’auspicio di ricevere l’apprezzamento di voi lettori, contiamo di ricevere un giudizio favorevole se non spesso per l’auspicabile gradimento dei contenuti che proporremo, almeno sempre come premio alla buona volontà con la quale continueremo ad attuare tutte queste nostre iniziative Made in Ischia.
Grazie, buon anno a tutti.

Io fui mortale.

Macroscopiche assoluzioni
per chiodi infissi nella mia coscienza,
Padre,
con benna estirpo ad una ad una
tra scricchiolanti cantilene,
e strascico avvolti
in folti fogli fitti di poesie,
Madre,
nel nostro tempo d’inutili menzogne.
Né sia truce in questi occhi non più asprigni
lo sguardo austero dei tuoi decreti,
Padre,
nel banno affisso sul muro di gomma
impiastricciato dalle mie storie fascinose,
dov’io m’illudo
in voglie e volti in veglie,
Madre,
fra dolci inganni che non sono tradimenti.
Ci sia indulgenza se non perdono
per la mano che respinge i miei sorrisi
per la mano che raccoglie le mie lacrime.
Io fui mortale.

Bruno Mancini

Cerimonia di premiazione premi “Otto milioni” 2018

Domenica 27 Gennaio 2019, alle ore 16.00, a Roma nella sede sociale dell’Associazione culturale Sinergie Solidali (Via Volsini 27) si terrà la cerimonia di premiazione dei vincitori dei Premi Otto milioni 2018 (poesia, arti grafiche, musica, letteratura, giornalismo) già comunicati nell’Aula Magna della SIAM di Milano durante l’evento del 17 novembre inserito nel cartellone del #BCM18 Bookcity e già pubblicati in questa pagina del 19 novembre 2018).

L’anfitrione sarà Mariapia Ciaghi, editrice di “Il Sextante” e del magazine Eudonna.

Sarà presente una folta delegazione dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Arte – DILA”.

Diverse Associazioni culturali invieranno loro rappresentanti.
l grande poeta catalano Joan Jos Josep Barcelò I Bauçà sarà ospite d’onore

Il quotidiano “Il Dispari” sarà la testata di riferimento di tutti i servizi giornalistici, mediatici e audiovisivi.

Saranno premiati con pergamene “Otto milioni”

Arti grafiche

Quinto posto Ismail Akinc
Quarto posto Ravishankar Roy
Terzo posto Osama Salama
Secondo posto Victor Rocha
Primo posto Liga Sarah Lapinska

Giornalismo

Quinto posto Silvana Lazzarino
Quarto posto Liga Sarah Lapinska
Terzo posto Caterina Guttadauro
Secondo posto Angela Maria Tiberi
Primo posto Silvana Lazzarino

Musica

Quinto posto Ivan Defabiani
Quarto posto
Terzo posto Valentina Gavrish
Secondo posto Franco Ruggiero Pino
Primo posto Antonio Di Nauta

Narrativa

Quinto posto Ksenia Svetlova
Quarto posto Valery Chursanov
Terzo posto Liga Sarah Lapinska
Secondo posto Angela Maria Tiberi
Primo posto Caterina Guttadauro

Poesia

Quinto premio Giuseppe Vultaggio
Quarto premio Anna Rancāne
Terzo premio Liga Sarah Lapinska
Secondo premio Franco Maccioni
Primo premio Miriam Bruni

Saranno premiati con attestati di partecipazione “Otto milioni”

Roberta Panizza
Bruno Mancini
Domenico Umbro
Roberto Prandin
Flora Rucco
Stefano Degli Abbati
Patrizia Canola

Saranno premiati con attestati di collaborazione “Otto milioni”

Gaetano Di Meglio
Mariapia Ciaghi
Dalila Boukhalfa (Presidente Giuria)
Patrice Gaspari (Direttore La Voce)
Enrico Buono (Patron teleischia)
Pierluigi Goggio (Video)
Boutique Maria Grazia (Sponsor)
Milena Petrarca (Collaborazione eventi)
Antonio Fiore (Veterano premio)
Giovanni Zambito (Direttore di Fattitaliani)
Felice Maria Corticchia (Regista, sceneggiatore)
Joan Jos Josep Barcelò I Bauçà (Poeta)

Seguiranno ulteriori informazioni.
Ingresso libero su prenotazione tramite mail da inviare a emmegiischia@gmail.com fino ad esaurimento dei posti disponibili.
INFO: 3914830355 tutti i giorni dalle 12 alle 23.

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1) Nella prestigiosa rassegna stampa di Bookcity
https://www.bookcitymilano.it/rassegna-stampa
vengono inserite numerose pagine di questo (quotidiano Il Dispari pubblicate dalla Redazione culturale DILA:

Il Dispari 20181210 – 10 Dicembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c1/0d0/25b/5c10d025bfbc6716738796.pdf

Il Dispari 20181203 – 3 Dicembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/7da/5c0f857da12cc270956686.pdf

Il Dispari 20181126 – 26 Novembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/9cd/5c0f859cd9aba159586020.pdf

Il Dispari 20181119 – 19 Novembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/d8f/5c0f85d8f03f8174678784.pdf

Il Dispari 20181112 – 12 Novembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/c44/5c0f85c44a7c0110202693.pdf

2) La pittrice Milena Petrarca e la scrittrice Raffaella Lanzetta si sono fatte fotografare all’ingresso del Museo della Terra Pontina mostrando il volume antologico “Penne Note Matite” edito da Il Sextante di Mariapia Ciaghi per conto dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Arte – DILA”.
In particolare Milena Petrarca è stata proclamata vincitrice del premio di Arti grafiche “Otto milioni” 2017 durante l’evento DILA approvato dal comitato organizzatore del Bookcity e svoltosi a Novembre 2017 nel MUDEC di Milano.

3) Nellija Matjučenko, ha ricevuto con molto piacere da Liga Sarah Lapinska (opinionista della pagina culturale pubblicata su questo quotidiano Il Dispari) per conto di DILA, l’antologia “Mare Monti Mare” dedicata al compianto Comandante Agostino Lauro.
Nellija Matjučenko lavora nella Biblioteca Scientifica di Jelgava nella quale non è la prima volta che sono stati resi disponibili i nostri libri in gratuita lettura.

Il Dispari 20181224 – Redazione culturale

Il Dispari 20181224

Il Dispari 20181224 – Redazione culturale

Editoriale

Un capitolo del mio racconto “La notizia virgola. La condanna punto” tratto dalla raccolta “Per Aurora volume secondo”.

La condanna punto – Capitolo 1°

Non avevo ancora completamente realizzato cosa fare, se accettare da Aurora il nuovo attestato di amicizia, salutare ed abbandonare il suo regno pur essendo a conoscenza degli eventi pronti ad investirla con nuova e più grande pericolosità, oppure, rimettendo in moto la narrazione (con Edoardo, Tom ed Edith sul palco), lasciare che i miei timori balenassero nella sua psiche se non come certezza, almeno come sospetto.

Così agendo, ne ero consapevole, poteva tuttavia accadere che lei, Aurora, interpretasse in maniera non assolutamente conforme ai miei intenti i risvolti delle azioni e dei convincimenti insiti nella narrazione della parte del racconto che avrei dovuto proporre.
Non muovevo, né in un senso, né nell’altro la mia determinazione, quasi imbambolato, sognante, ad occhi aperti immobili, con a fianco la mia Anima e il mio Cervello tutti magicamente adagiati nelle oblianti attenzioni della nostra amica.

Nessuna altra idea.

L’uomo vestito di bianco riprese il suo posto al pianoforte suonando in nostro onore le più belle melodie napoletane del suo immenso repertorio.

Un’indubbia corrente di pensieri gli consentiva di percepire i miei desideri, tramutandoli in musicalità prima che io li esprimessi.
Indifferentemente” ritornava ad ogni mio impulso, sempre con maggiore intensità.

Una volta intonata da trombe parlanti, ed era lui vestito di bianco a farlo, la successiva, come se cime di palme e di eucalipti, ondeggiando, rumoreggiassero più simili a violoncelli e contrabbassi che ad alberi tra venti tropicali in foreste dense di pioggia.
E nuie pe’ recità l’urtima scena…

La donna dalle mani ambrate e con un ventaglio di seta giapponese a colori sgargianti e stecche di bambù, non smetteva di coccolarlo.

La calma giornata di primavera copriva, con un silenzio innaturale di tutto quanto intorno a noi era realtà fisica dell’esistenza, la nostra stessa voglia di agire, ammantandoci di soddisfatta pigrizia.

L’uomo della ginestra (ginestra, fiore amato dalla mia donna) all’occhiello del bavero, l’indimenticabile protagonista del mio primo incontro con Aurora, era stato da lei invitato ad allietare il nostro gruppo suonando il pianoforte.

Fuggita dal mondo per incontrarlo nel loro ultimo appuntamento, la sua anima gli teneva una mano poggiata sulla spalla.

Edoardo sfogliava e leggeva in silenzio il mio racconto dal punto in cui era stato interrotto, Edith, vorrei dire, usignuoleggiava (ma non credo che l’insensibile correttore delle bozze mi consentirà questa astrusità) antiche canzoni in un inconfondibile accompagnamento.
Aurora, Aurora non lo dimostrava, ma era commossa, intensamente felice e turbata dalla prima sensazione umana della sua esistenza:
-«Petrus, beviamo con il nostro amico che da ora in poi chiameremo Ignazio.
Consigliaci.
Stappa quanto di meglio abbiamo
Davvero?
Davvero anche per Voi, Signora?»
È al loro onore che spetta questo mio brindisi.
Meritano che io beva con loro.
Avanti, Petrus.»
Valpolicella e gassosa?»
Non chiedere, mesci.»
La Signora adesso è veramente Aurora.»

Fu una frase a scuotere il mio torpore e ad impormi la decisione che rifiutavo di assumere.

Aurora aveva detto: “È al loro onore che spetta questo mio brindisi”. Il mio onore decise che non poteva assistere senza partecipare.
Cercai il raggiungimento dello scopo evitando di intaccare il sacrale concetto dell’individualità che ho sempre coltivato.
Lei avrebbe dovuto comprendere attraverso i fatti.

I figli di puttana insinuano.
La Vita no, la Vita mostra. Dissi:

Vuoi e puoi chiamarmi come preferisci.
I nomi sono convenzioni ed è il padrone di casa che stabilisce le regole.
Puoi offrirmi l’eccelsa sapienza di Petrus nello scegliere il vino del migliore vitigno nell’annata di eccezionale qualità, puoi concedermi le mille serenate ballate canzoni delle mie terre, sublimate dall’uomo con l’anello di rubino al dito, ma perché non chiedi cosa io gradisco?
Un urlo?
Aceto?
Oppure forse altro?»

Lei: -«Se tu non fossi Ignazio ti crederei un meschino accattone, ma tu hai altro in mente che non la tua convenienza, parla, che vuoi?»

Io: -«Detto così, il concetto è gratificante, ma non sono sicuro che sia esatto. Corro comunque il rischio e chiedo che tu ascolti almeno un’altra parte del mio racconto.
Non sarà certo un capolavoro, però da quando mi hai chiamato, ricordi “Vieni e fai leggere per me il tuo nuovo racconto a chi più lo merita”, da allora la mia ambizione ha ruotato intorno al piacere di ascoltare le espressioni dei tuoi sensi durante lo svolgersi della narrazione.
Mentre analizzavi segni sospetti della mia partecipazione alle azioni suicide degli infami maledetti, io assaporavo la repressa dicotomia tra l’abbandono innocente e puerile della tua anima e l’attento distacco del tuo cervello. Naturalmente mi riferisco al loro rapporto con il racconto che Edoardo e Edith e Tom stavano rappresentando.
Ora che in te il dubbio è stato chiarito, sarebbe magico, per la ricerca di sensazioni da sempre padrona del mio intimo più segreto, ascoltare in tua compagnia, se non tutto il seguito di “La Notizia”, almeno una parte che credo significativa.»

Lei: -«Adesso so che avevo ragione dicendo che hai altro in mente.
Proviamo, e se non fosse così, non sarebbe il tuo piacere un premio immeritato.
Petrus, alza il sipario.
Vuoi bere una metaxa?»

Petrus: -«Signora, e me lo chiedete?
Sono almeno venti anni che non la schiocco tra lingua e palato.
In un bicchiere caldo grande e pieno.
Grazie.
Signore e Signori, a gentile richiesta, Edoardo, Edith e non so chi altro, leggeranno non so quale capitolo di non ricordo quale libro.
Ancora metaxa, prego.
Grazie.
Noi ascolteremo come vuole la nostra Signora, compiti e composti.
Musica, silenzio.
Carò se arriva qualcuno chiama me.
Questa metaxa sarebbe eccezionale se non finisse così presto. Un’altra.
Grazie.
Posso dare inizio alla lettura?
Sì?
Capitolo?
…Quattordicesimo? Nono, in quanto per ultimo è stato letto l’ottavo! Quattordicesimo?… Perché quattordicesimo?… Va bene, va bene, quattordicesimo… quattordicesimo .
Libro?
La Notizia.
OK.
Via.
No, non toccate il mio bicchiere, lo porto con me.»

INFO: ISBN 9781409282372

Prodotto ID 4637203
Edizione Terza
Editore Bruno Mancini
Pubblicato 18 novembre 2009
Pagine 126
Rilegatura Copertina morbida con rilegatura termica
Inchiostro contenuto Bianco e nero
Peso 0,24 kg
Dimensioni (centimetri) Larghezza: 15,24, altezza: 22,86
Prezzo € 13,91 (IVA esclusa)
Stampa in 3-5 giorni feriali

http://www.lulu.com/shop/bruno-mancini/per-aurora-volume-secondo/paperback/product-4637203.html

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1) Nella prestigiosa rassegna stampa di Bookcity
https://www.bookcitymilano.it/rassegna-stampa
vengono inserite numerose pagine di questo quotidiano Il Dispari pubblicate dalla Redazione culturale DILA:

Il Dispari 20181210 – 10 Dicembre 2018
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Il Dispari 20181203 – 3 Dicembre 2018
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Il Dispari 20181126 – 26 Novembre 2018
https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/9cd/5c0f859cd9aba159586020.pdf

Il Dispari 20181119 – 19 Novembre 2018
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https://www.bookcitymilano.it/storage/app/uploads/public/5c0/f85/c44/5c0f85c44a7c0110202693.pdf

2) La pittrice Milena Petrarca e la scrittrice Raffaella Lanzetta si sono fatte fotografare all’ingresso del Museo della Terra Pontina mostrando il volume antologico “Penne Note Matite” edito da Il Sextante di Mariapia Ciaghi per conto dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Arte – DILA”.
In particolare Milena Petrarca è stata proclamata vincitrice del premio di Arti grafiche “Otto milioni” 2017 durante l’evento DILA approvato dal comitato organizzatore del Bookcity e svoltosi a Novembre 2017 nel MUDEC di Milano.

3) Nellija Matjučenko, ha ricevuto con molto piacere da Liga Sarah Lapinska (opinionista della pagina culturale pubblicata su questo quotidiano Il Dispari) per conto di DILA, l’antologia “Mare Monti Mare” dedicata al compianto Comandante Agostino Lauro.
Nellija Matjučenko lavora nella Biblioteca Scientifica di Jelgava nella quale non è la prima volta che sono stati resi disponibili i nostri libri in gratuita lettura.

Una poesia tratta dalla raccolta “Cantico del cigno” di Adriana Iftime Ceroli.

Alibi

Chissà com’era la Terra
prima dell’amore?
Probabilmente colma di anime fluttuanti,
uso e getta,
con la paura del tempo
che sotterrava piano i silenzi
ghiacciati della luna.
Una volta l’ho messa nella tasca dei jeans.
Si è sporcata dei miei demoni
ed è andata via scivolando
verso Washington,
come una bambina
con un kalashnikov in mano
per sparare,
per sparare i sentimenti sprecati.

 

Awooo

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Gaetano Di Meglio

Miramare Gaetano .jpg

Direttore del quotidiano Il Dispari

DILA & IL DISPARI 2017 Redazione culturale

distribuito in edicola insieme al quotidiano “Il Mattino” di Napoli

Il mattino logo

ha scritto:

Al Presidente Bruno Mancini e a tutti i Soci Fondatori dell’Associazione Culturale “Da Ischia L’Arte – DILA”

  • Cari amici, come da accordi verbali con Bruno Mancini ed in considerazione della valenza culturale e sociale dei progetti proposti dalla “nostra” Associazione DILA, ho piacere di rendere disponibile una pagina settimanale del quotidiano Il Dispari, da me diretto, per offrire una costante informazione dei programmi DILA ed una qualificata presentazione delle Opere e degli Artisti che vorrete mettere in mostra.
    Tutto ciò tenendo in massima evidenza possibile il rapporto con la realtà geografica, isola d’Ischia in primis, nella quale viene distribuita la testata Il Dispari che, vi ricordo, è venduta in abbinamento con il quotidiano Il Mattino di Napoli.
    La pagina sarà inserita, salvo imprevisti, nell’edizione del lunedì.
    Il format suggerito è quello di 2-3 articoli della lunghezza totale di circa 6.000 battute spazi compresi con l’aggiunta di 1-2 foto.
    Augurando a DILA e al Il Dispari una felice e lunga collaborazione

————|————

Gaetano Di Meglio
Il Dispari Quotidiano | Il direttore

m. +39 346.6226480
u. +39 081.18909067
www.google.com/+gaetanodimeglio
dir@ildispari.com
www.ildispari.it

Alla attenzione di tutti gli Amministratori dei gruppi ai quali sono iscritto.

Nella pagina

IL Dispari 20150525 testata -comp

che il quotidiano Il Dispari (distribuito in edicola insieme al quotidianoIl Mattino di Napoli) ha recentemente assegnata all’attività redazionale dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Arte – DILA” (della quale sono Presidente), sarò lieto di pubblicare notizie di carattere artistico culturale indicate dagli Amministratori dei gruppi ai quali sono iscritto.

Ciò vuole rappresentare il naturale proseguimento del programma di collaborazione con le varie forze operanti sul territorio che è parte integrante dei progetti culturali da me proposti con la Direzione Artistica di Roberta Panizza.

Compatibilmente con lo spazio di volta in volta disponibile, e con l’avvertenza che i contenuti dovranno essere interessanti specialmente per la comunità ischitana, invito chi di voi vorrà partecipare a questa iniziativa ad inviarmi un cenno di adesione e gli opportuni recapiti telefonici/e-mail a

emmegiischia@gmail.com.

Per ulteriori informazioni rispondo dal 3914830355 tutti i giorni dalle 14 alle 24 con avvertenza che NON rispondo a numeri segnalati come anonimi.
Bruno Mancini

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DILA & IL DISPARI 2019 Redazione culturale

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Gaetano Di Meglio

Miramare Gaetano .jpg

Direttore del quotidiano Il Dispari

DILA & IL DISPARI 2017 Redazione culturale

distribuito in edicola insieme al quotidiano “Il Mattino” di Napoli

Il mattino logo

ha scritto:

Al Presidente Bruno Mancini e a tutti i Soci Fondatori dell’Associazione Culturale “Da Ischia L’Arte – DILA”

  • Cari amici, come da accordi verbali con Bruno Mancini ed in considerazione della valenza culturale e sociale dei progetti proposti dalla “nostra” Associazione DILA, ho piacere di rendere disponibile una pagina settimanale del quotidiano Il Dispari, da me diretto, per offrire una costante informazione dei programmi DILA ed una qualificata presentazione delle Opere e degli Artisti che vorrete mettere in mostra.
    Tutto ciò tenendo in massima evidenza possibile il rapporto con la realtà geografica, isola d’Ischia in primis, nella quale viene distribuita la testata Il Dispari che, vi ricordo, è venduta in abbinamento con il quotidiano Il Mattino di Napoli.
    La pagina sarà inserita, salvo imprevisti, nell’edizione del lunedì.
    Il format suggerito è quello di 2-3 articoli della lunghezza totale di circa 6.000 battute spazi compresi con l’aggiunta di 1-2 foto.
    Augurando a DILA e al Il Dispari una felice e lunga collaborazione

————|————

Gaetano Di Meglio
Il Dispari Quotidiano | Il direttore

m. +39 346.6226480
u. +39 081.18909067
www.google.com/+gaetanodimeglio
dir@ildispari.com
www.ildispari.it

Alla attenzione di tutti gli Amministratori dei gruppi ai quali sono iscritto.

Nella pagina

IL Dispari 20150525 testata -comp

che il quotidiano Il Dispari (distribuito in edicola insieme al quotidianoIl Mattino di Napoli) ha recentemente assegnata all’attività redazionale dell’Associazione culturale “Da Ischia L’Arte – DILA” (della quale sono Presidente), sarò lieto di pubblicare notizie di carattere artistico culturale indicate dagli Amministratori dei gruppi ai quali sono iscritto.

Ciò vuole rappresentare il naturale proseguimento del programma di collaborazione con le varie forze operanti sul territorio che è parte integrante dei progetti culturali da me proposti con la Direzione Artistica di Roberta Panizza.

Compatibilmente con lo spazio di volta in volta disponibile, e con l’avvertenza che i contenuti dovranno essere interessanti specialmente per la comunità ischitana, invito chi di voi vorrà partecipare a questa iniziativa ad inviarmi un cenno di adesione e gli opportuni recapiti telefonici/e-mail a

emmegiischia@gmail.com.

Per ulteriori informazioni rispondo dal 3914830355 tutti i giorni dalle 14 alle 24 con avvertenza che NON rispondo a numeri segnalati come anonimi.
Bruno Mancini

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